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Héros ?

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Quelle idée de tomber malade d'autre chose en pleine épidémie de coronavirus ! Je ne le recommande à personne. Mais on n'a pas le choix en général, quand ça vous tombe dessus vous subissez et vous vous démerdez pour vous en sortir, pareil qu'en dehors des épidémies.

les Noyers commencent à avoir leurs feuilles

les Noyers commencent à avoir leurs feuilles

vendredi 24 avril 2020

- 16h30 : je suis tranquillement assis à l'ordinateur, je regarde des vidéos amusantes, une violente douleur au ventre en bas à droite me prend, ainsi que des nausées.

- 17h : la douleur ne diminue pas, je vomis plusieurs fois, moi qui ne vomit jamais je ne peux absolument pas m'en empêcher; je prends un Paracétamol mais je revomis juste après.

- 17h15 : ça ne s'arrange pas du tout, je comprends que c'est sérieux et inhabituel, je me décide à appeler le 15 : l'interlocuteur me dit d'aller voir mon médecin traitant, dont il me dit qu'il est présent à son cabinet; je dis "OK mais je vais mettre du temps car j'ai très mal"; on me dit "on vous envoit une ambulance, car de toutes façons il va vous falloir une échographie, on vous emmène aux urgences à l'hôpital de Romans".

- 18h15 : l'ambulance arrive; ils me questionnent, me donnent un masque, m'installent sur le brancard dans l'ambulance; je leur demande s'ils ont quelquechose contre la douleur mais ils me disent qu'ils ne peuvent rien me donner; le trajet me paraît sans fin, je me tords d'un côté à l'autre.

- 19h15 : l'ambulance me dépose aux urgences de l'hôpital de Romans; on me transfère sur un brancard de l'hosto, l'ambulance s'en va; quelqu'un me demande ce que j'ai, je dis que j'ai très mal au ventre en bas à droite, que la douleur est continue depuis 16h30; je demande quelquechose pour calmer la douleur, on me dit oui oui on va vous donner quelquechose mais on ne me donne rien.

- entre 19h15 et 21h15 : au moins deux personnes différentes me demandent si je suis allergique à quelquechose, je dis "oui au pollen et à l'iode injectable"; on me dit qu'on ne peut rien me donner pour le moment tant qu'on ne sait pas ce que j'ai; devant mon insistance suppliante on finit par me donner un Spasfon qui ne fait aucun effet; mon brancard est rangé dans le couloir des urgences; il y a du mouvement et du bruit permanents (nouveaux patients, infirmières qui parlent fort et rigolent, alarmes, bips et sirènes diverses, dont une très forte et très fréquente, très gênante; je demande à une infirmière s'il serait possible d'en diminuer un peu le volume sonore, elle me répond d'un air outré que c'est impossible, une médecin passe alors je lui pose la même question elle fait arrêter l'alarme aussitôt).

- 21h15 : on me fait passer un scanner; on me demande si je suis allergique je réponds de nouveau "oui au pollen et à l'iode injectable"; on s'étonne, on me dit qu'il fallait le dire avant que j'étais allergique à l'iode injectable car justement on va m'en injecter; après appel téléphonique sans doute à un médecin plus qualifié on décide de ne pas m'injecter et on me scanne.

- 22h : verdict j'ai un calcul rénal de 4 mm qui bouche une uretère, c'est une colique néphrétique; le rein se gonfle d'urine, l'uretère s'enflamme; on me perfuse au Kétoprofène, Contramal et Paracétamol.

- 22h30 : la douleur cesse enfin et je m'endors; je suis donc resté de 16h30 à 22h30 à me tordre de douleur, littéralement, en geignant à chaque expiration; cette douleur est insupportable, il n'existe aucune position qui la fait diminuer, mais on ne peut pas rester immobile à la supporter, aussi on ne peut s'empêcher de se tourner d'un côté et de l'autre, de se plier et se déplier, pendant des heures.

Héros ?

samedi 25 avril 2020

- 01h : on me demande si ça va, je dis oui; on me dit alors que je vais rentrer chez moi; étonné et pas rassuré je dis que je préfère ne pas rentrer de nuit chez moi, si la douleur revient que ferais-je tout seul je n'ai rien et tout sera fermé ? on me propose de rester jusqu'au matin => OK pour moi.

- 05h : les infirmières réapparaissent, je demande si c'est une ambulance qui va me ramener, on me dit que je n'y ai pas droit, ce sera à mes frais; on me conseille d'appeler quelqu'un mais à cette heure ? on me dit pas de problème pour attendre.

- 07h30 : les lumières sont rallumées je me lève et téléphone à une amie qui miracle accepte de venir me chercher et me ramener chez moi (j'habite quand même à 31 km); j'ai une ordonnance pour du Tramadol et du Kétoprofène, et on insiste pour que je consulte au plus vite un urologue.

De 19h15 à 07h30 j'ai donc passé douze heures dans le couloir des urgences, allongé sur un brancard avec une couverture et mes chaussures aux pieds. Infirmières et médecins sont quasi-indistinguables car toutes jeunes, habillées pareil et masquées, sans signe distinctif; on finit pas reconnaître leurs yeux ce qui permet de les distinguer.

- 08h : je suis dehors à la sortie de l'hôpital et j'attends mon amie; je vois passer toutes les infirmières et les médecines qui quittent leur service; nos regards se croisent brièvement mais aucune ne m'accorde la moindre attention, comme si je n'existais pas, je ne sais pas pourquoi ça me choque un petit peu.

Héros ?

mercredi 29 avril 2020

J'ai obtenu une consultation chez un urologue à l'hôpital de Valence à 09h40.

- 09h20 : je me pointe au 3e étage directement sans passer à l'accueil, comme on me l'a précisé au téléphone; la première chose qu'on me demande quand j'arrive est si je suis passé à l'accueil; on remplit des papiers et des formulaires, il semble que je suis déjà dans l'ordinateur apparemment, on met à jour les données (j'ai déménagé entre temps); malgré tout les formalités sont longues et paraissent compliquées.

- 10h : j'ai ma consultation, j'explique ce qui m'est arrivé et je montre mon dossier très complet : compte-rendu de scanner, analyse de sang, analyse d'urine; le médecin ne s'assoit même pas et ne m'ausculte pas, ni ne me pose de questions, il me dit bon c'est un calcul rénal, pas bien gros, il va partir tout seul; je lui dis qu'il n'est pas encore parti après 5 jours, il me répond que ça peut durer un mois; je lui dis "mais j'ai très mal moi, malgré l'antidouleur et l'antiinflammatoire prescrits"; il me dit bon on va poser une sonde JJ qui permettra à l'urine de s'écouler entre le rein et la vessie en attendant; il me planifie ça en urgence pour le lendemain jeudi, sans me donner aucune explication, et moi trop heureux d'être pris en charge et un peu diminué après ces jours de malheurs je ne pense même pas à lui poser des questions.

- 10h15 : retour au secrétariat du service d'urologie au 3e; formalités longues et apparemment compliquées pour la prise en compte de l'intervention de demain; on me dit ensuite d'aller au service des soins ambulatoires au 1er étage; ah ben non il est fermé il faut aller au 4e; j'y vais de ce pas : "qu'est-ce voula voulvoul ?" me demande une infirmière peu amène; "ben c'est pour une intervention demain qui vient de se décider"; "ah ben je suis pas au courant attendez je me renseigne"; attente; "bon c'est OK venez demain à 7h30 ici au 4e, mais passez tout de suite à l'accueil pour faire les formalités d'entrée".

- 12h, soit aussitôt après être sorti du 4e : je prends mon ticket avec numéro, il n'y a personne, je suis appelé assez vite au guichet K (le seul en fonctionnement); l'employée de l'autre côté de la vitre du guichet K a un air vide et fermé, et semble ne pas me voir, sans rien dire et sans ouvrir sa vitre; je patiente tranquillement (ne suis-je pas un patient ?); "qu'est-ce voula voulvoul ?" finit-elle par émettre; je lui tends mon papier pour l'intervention de demain, elle ne le prend pas et n'ouvre pas sa vitre mais exige que je le tienne collé à la vitre devant son regard; "plus bas !" demande-t-elle sans aménité; "mais je peux pas c'est déjà en bas, ou alors il faut que je le plie"; "pliez-le"; long temps de lecture et de réflexion, sans paroles; puis nom, prénom, date de naissance, carte vitale, formalités (ah tiens là je ne suis pas déjà dans l'ordinateur alors ?); "votre carte de mutuelle"; la voilà; elle n'esquisse pas le moindre geste : "il faut me la mailer cet après-midi, voilà l'adresse mail".

Héros ?

jeudi 30 avril 2020

- 07h30 : entrée dans la salle d'attente de chirurgie urologique au 4e étage.

- 08h : quelqu'un s'intéresse à moi : questions, dossier; conduite dans une chambre pour déshabillage-rhabillage en bleu, puis retour en salle d'attente.

- 09h : je descends à pieds vers la salle d'attente du bloc opératoire au sous-sol, guidé par un infirmier sans doute militant syndical qui me fait une propagande anti-gouvernementale lequel ne s'intéresserait qu'à l'économie; installation assis sur une chaise, passage de brancards à roulettes, à chaque fois je dois me ranger pour laisser passer.

- 10h30 : on me conduit dans le bloc opératoire où on me met sur un brancard; mise en place des divers instruments pour l'anesthésie (perfusion, tensiomètre, saturation en O2), on me fait respirer de l'O2 avec un masque qu'une infirmière m'écrase sur le nez en m'empêchant presque de respirer; mise en position pour l'opération; perfusion d'anesthésique => je plonge.

- 11h30 : réveillé en salle de réveil par les infirmières : je sors d'un rêve très agréable, j'avais complètement oublié l'opération et tout ce qui avait précédé; je reviens vite en conditions, tension, saturation, pouls, redeviennent très vite normaux; du va-et-vient dans la salle bien sûr.

 - 12h : on me dit que je remonte dans 20 minutes.

- 13h : on me remonte en brancard roulant dans une chambre qui devait être libre mais ne l'est pas, puis une autre difficile à trouver au 4e étage en chirurgie urologique; j'ai la radio et la télé, je peux régler la position du lit; on me donne un bocal pour pisser, j'ai deux perfusions (sérum physiologique et paracétamol).

- 14h : on me donne à bouffer, c'est très correct; un médecin inconnu passe pendant que je mange, me donne quelques explications, m'annonce que j'ai un rendez-vous pour le 8 juin, que je devrai passer une échographie et une radio avant, que j'aurai une ordonnance pour de l'anti-douleur et du Mecir (produit qui dilate l'urètre, pour l'élimination du calcul), que c'est normal que ça saigne et que ça fasse mal, et me dit que je sortirai vers 15h.

- 15h30 : on me fait une échographie après pissage, la vessie est vide, on me rend mes affaires, on m'enlève les perfusions, et on me dit que je sortirai à 16h; je me rhabille, c'est un coup de rasoir à chaque fois que je pisse, ils n'y sont pas allés de main morte pour rentrer leurs instruments, le bout de la verge est lacéré et ça saigne.

- 16h : on me vire de la chambre, qui doit être occupée par quelqu'un d'autre, je retourne en salle d'attente, qui est une chambre désaffectée où ils entassent le matériel en panne.

- 16h45 : je me renseigne si le chirurgien qui m'a opéré doit venir me voir, on me dit que oui, c'est son heure, il passe toujours vers 17h; on refuse de me donner mon dossier et mes ordonnances; je demande s'il y a des toilettes car maintenant je n'ai plus de chambre, on me dit qu'il faut sortir sur le palier (d'où je sais que je ne pourrai plus rentrer ensuite car la porte ne s'ouvre que dans un sens).

- 17h15 : toujours pas de chirurgien, je vais aux toilettes, personne pour me faire re-rentrer, je me casse sans rien dire.

ça y est les fougères sont là

ça y est les fougères sont là

Alors, sont-ce vraiment des héros ces soignants ?

Ce qui est sûr c'est qu'il ne faut pas tomber gravement malade en période de coronavirus (bien que les urgences de Romans étaient assez calmes, et que l'activité opératoire à Valence ne semblait pas inhabituelle dans ce service).

L'impression que j'en retiens est plutôt que pour ces personnes leur activité est avant tout un boulot, comme il y a des gens qui vendent des moules, d'autres qui en pêchent, d'autres qui conduisent des engins de chantier, d'autres qui sont enseignants, d'autres qui élaborent des applications informatiques : chacun bosse dans son monde, avant tout pour gagner sa vie en faisant quelquechose qui déplaît le moins. J'ai l'impression que leur boulot leur plaît à cause des équipes nombreuses et assez jeunes, que ça ne demande pas beaucoup de réflexion et qu'il y a du mouvement. Ça ne m'a pas paru être une vocation, comme prêtre ou moine.

Ce qui est apparent aussi c'est qu'il y a deux mondes séparés par une barrière invisible mais bien réelle : le personnel de l'hôpital d'un côté, et les patients de l'autre, et que les communications entre ces deux mondes sont uniquement utilitaires et techniques; l'interpénétration de ces deux mondes n'est pas du tout recherchée par les soignants.

Ce qui est clair aussi, malgré que certains côtés pourraient laisser penser le contraire, c'est que le milieu hospitalier ce n'est pas du tout de l'hôtellerie : le confort du patient n'est pas du tout recherché, aucune pro-activité de ce côté. Si vous ne demandez rien et vous écrasez gentiment pour ne pas déranger vous pouvez en baver grave et pendant longtemps.

Pour les soignants, les patients c'est de la technique, pas des interlocuteurs. Tout ce qui compte c'est la procédure : ne rien faire qui en sorte, ne rien commettre qui puisse être reproché et apparaître comme une faute professionnelle, appliquer les procédures à la lettre, un peu comme les flics finalement.

Ils passent leur temps à esquiver les patients : allez en salle d'attente, oui oui on va vous donner quelquechose, oui oui vous allez bientôt remonter, oui oui vous allez bientôt sortir, oui oui c'est normal, ...

Héros ?

Bref je n'ai rien vu d'héroïque là-dedans. A la limite le héros ce serait presque moi, car j'en ai bavé et j'en bave encore à l'heure où j'écris ces lignes (j'ai toujours mal au ventre en bas à droite, moins il est vrai, je n'arrête pas d'avoir envie de pisser, et à chaque fois c'est un grand coup de rasoir là où je pense et je pisse du sang), et j'ai fait preuve d'une grande patience endurante en puisant dans mes ressources, j'étais bien obligé, mais toujours de façon très courtoise et respectueuse, là c'était un bonus de ma part.

Alors c'est sûr qu'on est content de trouver quelqu'un qui s'occupe de vous quand on a un coup dur de santé, comme on est content de trouver une pompe ouverte quand la jauge d'essence descend dangereusement, comme on est content de trouver un plombier quand l'eau s'étale dans la cuisine, comme on est content de trouver un garagiste quand la voiture fait des bruits bizarres, comme on est content de trouver une épicerie ouverte quand on n'a plus rien à bouffer le dimanche soir. Sont-ils aussi tous des héros ?

Ceci dit on peut continuer à applaudir les soignants, ça doit les étonner mais ça doit leur faire plaisir, et après tout il n'y a pas de mal à faire plaisir.

Les portes du pénitencier

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Phalangère

Phalangère

Je sais pas vous, mais moi j'ai tué personne, j'ai rien volé, et pourtant je viens déjà de me taper 37 jours de prison, encore au moins 19 à tirer, avec une heure de promenade par jour dans la cour, à l'isolement sans contact avec personne. Même Balkany n'en a pas fait autant.

Donc je commence à en avoir franchement ras-le-bol, il y a intérêt à ce qu'à partir du 11 mai il y ait un assouplissement net et large, sinon ça va très mal se passer.

Déjà je constate dans mon bled que la circulation des piétons et véhicules est redevenue quasi-normale (c'est-à-dire pas grand-chose), les gens ne respectent plus le confinement, dans mes promenades je croise autant de personnes qu'avant, en plus les gens sont presque tous en vacances du coup et ils ont du temps à perdre !

le temps se gâte, l'orage approche

le temps se gâte, l'orage approche

non ce n'est pas là que j'habite

non ce n'est pas là que j'habite

Ça pousse de plus en plus

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Voici tout d'abord 4 images de jeunes Prunes :

Ça pousse de plus en plus
Ça pousse de plus en plus
Ça pousse de plus en plus
Ça pousse de plus en plus

Voici maintenant 5 images de jeunes Cerises. À ce stade et vu de si près il est quasiment impossible de distinguer les jeunes cerises et les jeunes prunes, ni leurs feuilles d'ailleurs.

Ça pousse de plus en plus

Seules les 2 petites "glandes" rouges à la base des feuilles de cerisier permettent de les distinguer de celles du prunier.

Ça pousse de plus en plus
Où on voit bien que la fleur se transforme en fruit

Où on voit bien que la fleur se transforme en fruit

La récolte s'annonce bonne, contrairement à l'année dernière où je n'avais eu que dalle. L'élagage énergique a peut-être amélioré les choses ?

Ça pousse de plus en plus
Ça pousse de plus en plus

Voici maintenant 2 images de jeunes Pêches, qui prennent bien leur "peau de pêche" :

Ça pousse de plus en plus
Ça pousse de plus en plus
Ça pousse de plus en plus

Que voilà des pucerons en mauvaise forme, qui tirent la gueule : la tisane à l'ail semble efficace, bien plus que le purin d'orties.

Ça pousse de plus en plus
Ça pousse de plus en plus

Et pendant ce temps-là...

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Voilà ce qui se passe en ce moment sur les hauts-plateaux du Vercors, interdits d'accès de fait, et donc qu'on est en train de rater : des millions de fleurs de printemps, qu'on ne reverra plus avant l'année prochaine maintenant (images des années passées) !

Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...
Et pendant ce temps-là...

Crocus, jonquilles, érythrones dent-de-chien, scilles, renoncules, gagées, nivéoles.

Bientôt ce seront les tapis de pensées, de narcisses, de gentianes, qu'on va probablement louper aussi.

On fait aller

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Quelques images de mes 3,14 kmrond de ces jours derniers.

On fait aller
On fait aller
Véronique

Véronique

On fait aller
On fait aller
On fait aller
On fait aller
Orchis homme-pendu

Orchis homme-pendu

Muscari comosum

Muscari comosum

déjà quelques Coquelicots

déjà quelques Coquelicots

On fait aller
le Marronnier a ses "cierges"

le Marronnier a ses "cierges"

On fait aller
On fait aller
On fait aller
On fait aller
On fait aller
On fait aller
vieille grange

vieille grange

Ça pousse

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Les fruitiers de mon jardin, après avoir fait leurs fleurs, les ont maintenant perdues et ont développé leurs feuilles. Les jeunes fruits commencent à apparaître.

jeune Figue

jeune Figue

jeune Poire

jeune Poire

jeune Poire

jeune Poire

jeune Pêche

jeune Pêche

jeune Pêche

jeune Pêche

jeune Cerise

jeune Cerise

jeune Cerise

jeune Cerise

par contre des Pucerons ont envahi mes rosiers; j'ai mis du purin d'orties, on verra bien si ça fait effet (réponse du 21 avril : que dalle; j'ai pulvérisé une décoction d'ail, à suivre)

par contre des Pucerons ont envahi mes rosiers; j'ai mis du purin d'orties, on verra bien si ça fait effet (réponse du 21 avril : que dalle; j'ai pulvérisé une décoction d'ail, à suivre)

un Orchis Singe, pas dans mon jardin mais à proximité

un Orchis Singe, pas dans mon jardin mais à proximité

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